DAS n° 41
Ballet temporel
 
Collection : Eons - DAS n° 41
Traduction : Jean-Luc Blary
Paru en : 2007
 
Titre original : Generalprobe Zeitballett (1975)

 
Le commando du CESS se trouve 187 211 ans avant leur ère afin d'empêcher l'amiral Saghon d'utiliser une arme qui effacerait tout leur passé. Pour se rendre sur le continent de l'Atlantide, ils achètent un voilier au marchand Hermemec dans la ville de Whurola. Thor Konnat se fait passer pour un prince perkien, Rodkon, qui aurait trouvé des équipements martiens dans un croiseur écrasé. Il est aussi censé être un messager du quartier général des Dénébiens de la ville de Nitrabyl, récemment détruite.

Konnat reçoit la visite de Hedschenin, un Atlante responsable de la défense pour le secteur correspondant à l'Europe du Sud. Il a des soupçons sur ce mystérieux barbare.

Le navire, un trois-mâts baptisé RODKON-WU, fait lentement voile vers l'Atlantide, Lurcarion. Comme ils se déplaceent trop lentement, ils se font remorquer par le sous-marin HURON ramené du futur.

La grande attaque des Dénébiens contre les Martiens commence et le ciel s'embrase. Les hommes du futur savent qu'un croiseur s'écrasera fatalement sur Lurcarion et provoquera la fin du continent. Le RODKON-WU est projeté sur la côte suite à un ouragan provoqué par l'explosion de vaisseaux. L'équipage se dirige vers Bayronur, le port principal.

Là, Hedschenin les retrouve. Il leur présente une image 3D de Thor Konnat en uniforme du CESS! Il l'a trouvée dans le déformateur temporel de Tafkar, lequel vient d'être ramené de la Lune. HC-9 met cartes sur table et révèle la vérité. Hedschenin est choqué. Il est aussi surpris en apprenant que Konnat possède un codateur et peut donner des ordres aux grands cerveaux, privilège réservé aux Martiens.

Les hommes du futur pénètrent dans la capitale Trascathon grâce à Hedschenin et parviennent à détruire le déformateur temporel, évitant ainsi d'autres manipulations du temps. La flotte dénebienne attaque Trascathon d'où les hommes du futur n'échappent que de justesse.
 


© Michel Vannereux