cycle 3
: Les Bioposis
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FASCICULE
PERRY RHODAN n° 143
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Une équipe de scientifiques étudie les installations des êtres de Mécanica sur la planète Surprise, à la recherche d'un moyen de repérer les Laurins. Le 7 mars 2114, des nefs composites surgissent et attaquent la planète. L'escadre de surveillance terrienne est contrainte de prendre la fuite. Une nef bioposi touchée s'effondre sur la planète qui se brise sous son impact. Le personnel est évacué sur la planète mais cinq personnes sont manquantes.
Celles-ci, l'équipe du docteur Riesenhaft, sont projetées par un transmetteur sur une autre planète, bientôt baptisée Fossile. Ils sont accueillis par des robots identiques à ceux de Mécanica. Les indigènes de Fossile, plus tard baptisés Snoofs, vivent à proximité d'une ville protégée par les gardiens, en fait des robots. Schoepproït, l'un d'eux, emprunte la galerie qui mène jusqu'à la ville. Il est témoin de l'arrestation des Terriens par les robots de la ville. Les robots ne reconnaissent que deux formes de vie, la vie venue des étoiles et la vie mécanique. Emmet Loden fait passer son groupe pour des mécaniques en mettant en avant la prothèse de Riesenhaft. Ce dernier est étudié sous toutes les coutures par les robots qui libèrent finalement les humains. Ils sortent de la ville et s'approchent d'un ruisseau au-delà duquel vivent les Snoofs. Terriens et Snoofs s'entendent entre eux. Les indigènes de Fossile apprennent même quelques mots de la langue des Terriens. Les Terriens retournent clandestinement dans la ville en empruntant la galerie creusée par les Snoofs et achevée par Schoepproït. Ils trouvent un appareil permettant aux Bioposis de repérer les Laurins. Les robots comprennent qu'ils se sont fait avoir et attaquent les intrus. Loden coupe l'alimentation en énergie, leur permettant de fuir. Ils trouvent l'hypercom qu'ils utilisent après avoir remis l'énergie en marche. La station-relais FS-491 reçoit le message et le transmet au Théodoric. Une escadre se rend immédiatement sur Fossile et récupère les scientifiques. |
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© Michel Vannereux |