cycle 27 : Les Tolkandiens
FASCICULE PERRY RHODAN n° 1815
 
Rätselwelt Galorn
Galorn, monde énigmatique
 
Auteur : Peter Terrid
Année de parution : 1996
 

Le 3 novembre 1288, Perry Rhodan et Reginald Bull atteignent le plateau et s’approchent de Gaalo sous les chutes de neige acide permanentes. Gaalo est composée de la cité de Cœur-Cinq, séparée par un mur élevé des faubourg Nord-Un, Ouest-Deux, Sud-Trois et Ouest-Quatre. Ouest-Quatre, par où arrivent Rhodan et Bull, est habitée par diverses races. Ils apprennent des Mocksgergers les premiers mots du standard Goo, la langue commune de la galaxie Plantagoo. En plus des Mocksgergers, les porteurs d’activateurs rencontrent aussi les Krooghs, les Tasch-Ter-Man et les Zentrifaals. Les Tasch-Ter-Man étant obligés de servir un maître, Dyn-Qar se soumet au Grand-Kroogh Lyskun.

Rhodan et Bull l’ayant sauvé d’un piège du Grand-Kroogh Lyskun, A-Ostamul, un chef de clan zentrifaal, se sent redevable envers eux. Il raconte que les Galorns ont quitté leur monde depuis longtemps. Ils auraient laissé un Androgardien qui mit fin aux désordres dans la ville par pacification. Seul l’espoir d’une réduction de bonheur explique le fait que Gaalo est la seule ville galorn encore habitée malgré les mauvaises conditions de vie. Le Zentrifaal propose aux Terraniens de prendre place sur le vaisseau qui doit atterrir dans quelques semaines. Rhodan et Bull se rendent d’abord dans un bunker à la limite de Nord-Un et Cœur-Cinq et sont suivis par Lyskun et Dyn-Qar. Quand un vaisseau se dirige vers Cœur-Cinq, les porteurs d’activateurs perçoivent durant un moment un sentiment de bonheur complet et comprennent que l’expression réduction de bonheur signifie qu’un être vivant est réduit exclusivement à ce sentiment.

Foremon atteint l’ascenseur vers Cœur-Cinq réservé aux passagers du dôme-champignon et monte vers la ville en utilisant ses dernières forces. Après avoir franchi le mur il rencontre deux Tasch-Ter-Man qui se soumettent spontanément à lui, s’adressant à lui comme à une divinité fragile.
 


© Michel Vannereux