cycle 34 : Terranova
FASCICULE PERRY RHODAN n° 2399
 
Finale für einem Dual
Finale pour un dual
 
Auteur : Uwe Anton
Année de parution : 2007
 

Sur son chemin vers Hangay, Atlan brise tous les ponts derrière lui. Toutes les unités terraniennes et halutiennes sont retirées des systèmes de Nagigal, Gulver et Jiapho. Les installations sont modifiées de façon à ce que les transmetteurs ne puissent plus être utilisés. Les Halutiens et les Terraniens qui ne se rendent pas dans Andromède ou Pinwheel seront pris dans les Îlots-États Spectraux, Immentri Luz ayant accepté de les héberger.

Pendant ce temps, Dantyren est à l’œuvre dans la station de contrôle de la planète Trixal. Il est plus que déçu quand il apprend que Perry Rhodan ne viendra pas. Toujours camouflé en Halutien, il attire Atlan dans un secteur isolé de la station. Ils s’affrontent un bon moment, Atlan étant désavantagé par le fait qu’il ne veut pas tuer la composante Roi Danton. Lors du combat, des Lémuriens dégénérés qui vivent dans un recoin de la station sont libérés et l’Arkonide profite de la confusion pour s’enfuir.

Atlan emploie l’intimidation psychologique en faisant appel aux souvenirs personnels de Roi Danton. La griffe-de-laborath se voit contrainte de paralyser la moitié humaine de l’être dual, qui n’est plus capable d’utiliser le tourment endogène. Dans le combat qui suit, Atlan se retrouve contraint de tuer Dantyren.

L’Arkonide est dans un premier temps effondré d’avoir dû tuer le fils de son meilleur ami mais les résultats d’une autopsie apportent une nouvelle totalement inattendue : l’A.D.N. de la partie humaine du capitaine dual ne concorde pas à 100% avec celle de Michael Reginald Rhodan et il n’y a aucune trace de puce-activateur. Il s’agit en fait d’un clone et nullement du véritable Roi Danton.

ZEUT-80 génère un tunnel hyperspatial par lequel le RICHARD BURTON et sa flotte d’escorte, trois Box de la L.L.T. et des barges PONTON partent pour Hangay le 16 mars 1346 N.D.G. Leur objectif est Cala Impex, la base des Libres-Navigants.

 


© Michel Vannereux