FASCICULE PERRY RHODAN n° 2741
 
Die Ordische Stele
La Stèle Ordique
 
Auteur : Christian Montillon
Année de parution : 2014
 

Comme il n’existe aucune protection contre les torpilles linéaires des Onryons, Uldormuhecze Foelybeczt est contraint d’accepter l’installation d’une Stèle Ordique sur Aurora. La structure de trois cents mètres de haut est édifiée au centre de la capitale. Ufo est la première personne à pouvoir s’approcher de la stèle. Quand il touche la pyramide, le visage de Matan Addaru Dannoer se forme et demande quelle plainte il veut formuler. Des Stèles Ordiques doivent être implantées dans toute la Voie Lactée et établir les règles en cas de conflit jusqu’à ce que l’Ordre Atopique soit complètement accompli et la Galaxie divisée en domaines.

Malgré ses succès, Penccas Khelliod est insatisfait car le système informatique d’Aurora échappe à son contrôle. Khelliod apprend d’un espion jaj que les codes d’acès sont implantés dans le cerveau de trois personnes que le métamorphe a déjà identifiés : le Haspronien Luba Sept, l’Arkonide Aksandar da Hay-Boor et le Dron Enderquett.

Ufo obtient une audience auprès de Khelliod dans son vaisseau, le spatiopère Shoyoo. Il est accompagné de deux gardes du corps : le Malitien Vetos Bàalter, doté de parafacultés, et Monkey sous l’identité du Mehandor Tenkroden. Celui-ci cache sur lui le Swoon Gyr Boskaide. Un attentat est simulé, permettant à Tenkroden de disparaître à l’intérieur du vaisseau.

Protégés par un voile Paros individuel, Monkey et le Swoon peuvent se déplacer discrètement dans le Shoyoo. Leur écran de protection génère toutefois un rayonnement mortel. Monkey doit agir vite car il risque de souffrir de dommages irréparables, malgré son activateur cellulaire. Boskaide s’est porté volontaire car il souffre d’une maladie incurable. Leur objectif est de voler une des torpilles linéaires. Comme celles-ci sont trop massives, Monkey en met une à feu et quitte le vaisseau, accroché à la torpille. Elle est récupérée par le vaisseau franc-passeur Bloss’Teran. Le Swoon succombe à tous ces efforts.
 


© Michel Vannereux