cycle 42 : Mythes
FASCICULE PERRY RHODAN n° 3065
 
Beteigeuze
Bételgeuse
 
Auteur : Christian Montillon et Susan Schwartz
Année de parution : 2020
 

Les négociations entre Terraniens et Topsides dans la deuxième branche du Dyo-Univers vont avoir lieu sur Vurayur, la quatrième planète du système de Bételgeuse. Le Yura Kaloyd accueille les délégations. L’expert en sécurité terranien Odai Krimmer est là également. Perry Rhodan va voir le Primrat des Yura qui craint que son peuple soit pris entre deux fronts.

Klechna-Ertz, la diplomate en chef topside, demande à Perry Rhodan à lui parler avant la rencontre officielle. Rhodan amène avec lui Iwán/Iwa Mulholland. Il s'agit en fait d’une rencontre avec la Mère de Couvée Bun-Akkbo qui s’efforce de faire la paix. Rhodan révèle que Mulholland possède deux parafacultés. Il affirme qu’il aspire à retourner dans la première branche du Dyo-Univers et qu’il demandera à tout Terranien de l’accompagner.

Pendant les négociations, des attaques d’animaux ont lieu sur le site où se déroule la conversation. Il s’avère qu’ils sont équipés d’un émetteur de construction topside. On suppose le Topside Wrachsha d’en être responsable. La situation empire alors que Kaloyd est pris de folie. Des Topsides attaquent. Tout cela est une diversion pour une action orchestrée par Odai Krimmer. C’est un mutant capable d’influencer les autres individus pour qu’ils lui accordent leur entière confiance. Il a ainsi amené Kaloyd et d’autres à l’aider. Wraschsha et d’autres Topsides, en revanche, agissent de leur plein gré quand ils enlèvent Flaccu.

Mulholland les repère télépathiquement et Flaccu est libérée. Les ravisseurs sont arrêtés. Krimmer voulait que Rhodan prenne le pouvoir et élimine les Topsides.

Un traité de paix est conclu entre Terraniens et Topsides. L’Alliance d’Orion qui inclue aussi les Yuras est fondée. Des scientifiques des trois peuples établis sur Esperdetyn, la troisième planète, doivent élucider le mystère d’extinction en masse qui s’est produit il y a dix millions d’années.
 


© Michel Vannereux