cycle 43 : Chaotarques
FASCICULE PERRY RHODAN n° 3147
 
Das Ende der Zweifler
La fin des sceptiques
 
Auteur : Robert Corvus
Année de parution : 2021
 

Le Theta da Ariga, la nef amirale d’Atlan, se trouve avec d’autres navires arkonides près d’une étoile. C’est le système de Pshazyr, qui appartient à l’Oszyrium. La principale planète est Selkudervand. Il s'y trouve une anomalie spatio-temporelle. Atlan suppose qu'il s'agit de la Faille.

Des tricubes détruisent des sondes et immobilisent quelques unités arkonides. Il y a aussi un croiseur ennemi qui ressemble à un atome gigantesque. La flotte ennemie comprend finalement deux cents tricubes munuam et trois cents croiseurs-atomes apparus par la Faille.

Sirrte Teziz commande toutes les troupes de l'Oszyrium dans le système. Elle est ravie qu’Atlan soit venu avec une flotte. L’ennemi commence à bombarder massivement la planète. Le Munuam Prozorod suit cela avec satisfaction depuis son vaisseau, le Vnatat. La flotte d'Atlan leur tient tête.

Un lieutenant de Prozorod, le Laichkang Andarau, fait une offre à Atlan : les Arkonides seront épargnés s'ils se retirent. Il refuse. Plus tard, le Theta da Ariga est infiltré et secoué par des explosions. Verind Nott prend Atlan par le bras, et ils disparaissent. Ils se matérialisent dans l'Ydua. Apparemment, l’Intendante veut fuir avec Atlan. Atlan la persuade de retourner sur le Theta da Ariga. Les deux se matérialisent dans le tumulte du combat. De plus en plus de Munuam pénètrent dans le Theta da Ariga.

Atlan constate que le Theta d'Ariga est fortement endommagé, mais réparable. On a tenu tête avec succès aux troupes du Chaos. Il y a néanmoins toujours des combats. Un croiseur-atome détruit une des lunes de Selkudervand.

L’Intendante propose qu’Atlan passe maintenant sur le . Le et l’Ydua doivent se diriger vers la Faille, par la Zone Dakkar, qu’il faut faire s’effondrer pour couper l’accès à l’ennemi de Fenerik. La Faille devient instable. Prozorod qui s’est retiré dans la Faille avec le Vnatat sent la mort arriver.
 


© Michel Vannereux