cycle 7 : Les Cappins
FASCICULE PERRY RHODAN n° 452
 
Planet der Pazifisten
La planète des pacifistes
 
Auteur : William Voltz
Année de parution : 1970
 

Le jeune Mason Grammick s’introduit dans un magasin du Marco Polo pour se procurer un élément électronique. Pris la main dans le sac, il révèle qu’il construit un robot qu’il a baptisé Folly Utter. Son supérieur, le major Effret, ordonne qu’il le jette dans un convertisseur mais Grammick décide de faire appel à Perry Rhodan.

Se réveillant brièvement, Sholshowo conseille aux Terraniens de se rendre sur la planète Lofsoog, un ancien monde scientifique des Ganjasis. Le Marco Polo s’y dirige aussitôt. Le MPCr-1 se rend à la surface. À bord se trouvent Mason Grammick et le robot Folly Utter. Rhodan a accepté qu’il soit épargné mais il devra rester à la surface de Lofsoog.

Le croiseur se pose sur un astroport désaffecté. Une partie de l’équipage descend à terre et prend contact avec les Lofsoogiens, un peuple apparemment pacifique. Le Lofkano, leur chef, déclare qu’il méprise les étrangers car ce sont des esclaves de la technologie. Folly Utter sort soudain sans permission et effraie les autochtones qui y voient une menace. Le MPCr-1 tente de décoller mais de fortes vibrations paralysent l’équipage. Seules les personnes à l’extérieur demeurent indemnes.

Atlan et Menesch Kuruzin sont capturés et amenés dans un bâtiment pour y être interrogés. Le Lofkano considère que le vaisseau présente un danger. Les Lofsoogiens veulent tuer l’équipage du croiseur. L’Émir se téléporte auprès des deux prisonniers qui l’informent du danger. Il part à la recherche du Lofkano. Il le retrouve et l'amène auprès de Folly Utter pour lui montrer que ce dernier n’est qu’un être inoffensif.

Le Lofkano accepte alors de discuter. Il ne sait rien des Ganjasis mais sait que les Raconteurs sont un peuple pacifique colportant des informations dans toute la Galaxie. Ils annoncent aussi qu’un jour le Ganjo reviendra et mettra fin aux guerres ravageant la galaxie.

Le MPCr-1 rejoint le Marco Polo. Mason Grammick reçoit la permission de conserver Folly Utter.
 


© Michel Vannereux