cycle 7 : Les Cappins
FASCICULE PERRY RHODAN n° 495
 
Der Botschafter von Sol
L’ambassadeur de Sol
 
Auteur : Hans Kneifel
Année de parution : 1971
 

Harcon da Draimalo est le commandant d’un croiseur akonide appartenant au Commando Énergétique, le Hassata. Il est chargé d’espionner les communications des Terraniens. Le 15 juin 3438, il détecte l’apparition d’une flotte de quatre-vingt-dix mille Collecteurs près du Centre galactique. Il en avise Reginald Bull mais le Hassata est bientôt détruit.

Tandis que Bull continue à affronter les Collecteurs, Galbraith Deighton charge Edmond Pontonac d’obtenir l’aide des autres puissances galactiques. Le croiseur Dara Gilgama est mis à sa disposition. À bord se trouve un tigre à dents de sabre possédé par un Takéran et le pseudo-corps de ce dernier, maintenu en isolation. Ils doivent servir de preuve de la méta-invasion.

Pontonac se rend dans la Fédération Galactique de Normon, dans l’Union Central-Galactique et dans la Coalition de Carsual. À chaque étape, il doit convaincre des interlocuteurs sceptiques et affronter les machinations de Cappins qui prennent possession de divers individus. Mais à chaque fois, le colonel réussit à persuader de la véracité de ses dires. Des bandeaux Dakkar empêchant l’intrusion de méta-inducteurs sont distribués en masse.

Pendant ce temps, Reginald Bull s’interroge sur l’apparition d’une nouvelle catégorie d’humaines, les Homo superior, des pacifistes convaincus à l’intelligence supérieure.

Durant le vol de retour, le Dara Gilgama est intercepté par une flotte de l’Ordre de Shomona. Une partie de l’équipage est incarcérée sur la planète-prison Caudor II où ils retrouvent l’équipage d’un autre vaisseau intercepté, le Giordano Bruno Junior. L’Ordre de Shomona exige que l’Empire Solaire lui remettre 97 millions de solars en échange des otages. Le Dara Gilgama repart pour la Terre. Le tigre est enfermé dans un zoo de Caudor II et le pseudo-corps confisqué.

Edmond Pontonac envisage maintenant de s’emparer du Giordano Bruno Junior pour fuir.
 


© Michel Vannereux