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DIE RUINENSTADT
La ville en ruines
 
Auteur : Robert Corvus
 
Année de parution : 2014
 

Les Terraniens d’Astrée veulent essayer d’obtenir davantage d’informations sur les vaisseaux-amibes. Au moins cinq de ces curieux objets se trouvent près de la planète Sepura II où ils collectent manifestement des hypercristaux. De petites unités cylindriques, des virobacs, transportent les cristaux de la planète aux vaisseaux. Une attaque vaine du Chevauche l’Éclair sur les croiseurs-amibes montre bien que ces navires étrangers sont invulnérables. Le Chevauche l’Éclair peut tout au plus abattre un virobac et récupérer les restes, mais lui-même est abattu.

Une petite équipe doit pénétrer dans un virobac pour rejoindre un croiseur-amibe. La flotte d’Astrée mène une attaque de diversion tandis que le commando Antivirus est déposé sur Sepura II. Il se compose du pilote Solosted Whiskith, de l’Epsalienne Gwen Soprina et du xénoinformaticien Güramy Triltuk du peuple des Yülziishs. Whiskith ne se montra pas à la hauteur et Eritrea Kush doit prendre sa place. Le commando réussit à accéder à un croiseur-amibe.

Perry Rhodan et Kerat Tinga ont quitté la Ville Immatérielle Marhannu. Ils se trouvent maintenant sur une planète inconnue et suivent Anthur. Dans une vieille cité en ruines, ils tombent sur des êtres qui ressemblent aux Jaranocs. Ils se désignent comme Jarocs et appellent leur monde Jaroca. Ils mènent une vie primitive. Anthur les a persuadés que Rhodan et Kerat Tinga sont des êtres mauvais. Il a obtenu la confiance des Jarocs en soignant leur chef, Homhonk. Lui-même s’est présenté comme l’Annonciateur du Gardien, une figure mythique.

Rhodan et Kerat Tinga sont capturés et leur équipement confisqué. Ils doivent être condamnés à mort. Ils apprennent du chamane Virvird que le Gardien a jadis sauvé les Jarocs de la chute. La plupart des Jarocs et leurs villes volantes ont été anéanties lors d’une guerre. Virvird aide les prisonniers et leur apporte un émetteur qui doit servir à appeler Whistler et que Kerat Tinga avait avec lui. Pour l’activer, Posimon a besoin d’une source d’énergie.
 


© Michel Vannereux