cycle 21 : Les Cantaro
FASCICULE PERRY RHODAN n° 1414
 
Der letzte Aufbruch
Le dernier départ
 
Auteur : K.H. Scheer
Année de parution : 1988
 

Ratber Tostan tait à Atlan que son état de santé s’est aggravé après les nombreuses épreuves récentes quand il confie à l’Arkonide son intention de franchir le Mur Chronopulsant avec le TS-CORDOBA. Atlan interdit l’opération mais Tostan explique qu’il ne se soumet plus à ses ordres. Quand l’Arkonide, qui repart vers Phœnix-1 avec le LACRIMARIUM et le CYGNE, arrive à la Baie d’Héra le 7 juillet 1143, Tostan part avec son Tsunami pour l’intérieur de l’enclave. Il récupère un trimaran kartanien avec des corps momifiés à bord. Tostan prend contact avec une station terrestre sur Héra III qui lui envoie un ordre d’autodestruction. Tostan ne peut amener son vaisseau en sécurité qu’avec un départ en catastrophe. Le cerveau commandant la base accepte le Joueur Galactique comme vieux compagnon de combat des Kartaniens et le laisse passer l’écran SH protégeant la base souterraine avec une navette. Les Terraniens rencontrent d’autres Kartaniens morts que Tostan identifie comme des membres du commando Goronac du système de Synguiso de Hangay. Tostan comprend que la Baie d’Héra a été créée par les Kartaniens lors de la création du Mur Chronopulsant. Le groupe est attaqué par des Traav que les félins ont amené il y a 650 ans pour se protéger d’éventuelles attaques des Hauris. Après la formation du Mur Chronopulsant, les reptiles échappèrent à tout contrôle et se révoltèrent contre leurs maîtres. Les Traav intrépides meurent en suivant les Terraniens qui franchissent un écran SH, protégés eux par leurs écrans paratroniques. Le commandant du TS-CORDOBA tombe sur le cadavre de son ami Man-Gro.

La liaison de la Baie d’Héra avec l’espace libre se rétrécit. Après son retour dans le TS-CORDOBA, Tostan fait amener tout l’équipage dans les navettes. Tandis qu’ils quittent l’enclave, Tostan et Posy Poos partent avec le croiseur Tsunami pour franchir le Mur Chronopulsant à l’aide du champ anti-temporel. L’onde de choc hyperénergétique d’une explosion prouve l’échec de l’opération et la mort de Tostan et du Swoon.
 


© Michel Vannereux