cycle 36 : Astrée
FASCICULE PERRY RHODAN n° 2593
 
Das Paralox-Arsenal
L'Arsenal Paralox
 
Auteur : Leo Lukas
Année de parution : 2011
 

Julian Tifflor voyage pendant des millions d’années dans la Lance du Temps et rassemble plusieurs clés Perianth plus ou moins difficilement. Plus il s’enfonce et plus son esprit est confus. De la poussière de cristal se dépose sur son corps et finit par former une deuxième peau. Un inconnu qu’il ne voit que vaguement l’aide dans sa quête. Dans un grain temporel, il remet un livre de notes au robot Safri-16. De façon indéterminée, ce livre parviendra un jour à Duleymon.

Tifflor rencontre enfin l’inconnu, un Anthurian nommé Banlaroguel qui peut prendre diverses formes. Il apprend que les Anthurians ont construit TALIN ANTHURESTA comme arche pour tous les peuples touchés par l'augmentation de l’hyperimpédance et que c’est la désincarnation de cinquante millions d’Anthurians qui a permis à Estartu de se séparer de l’Immortel.

Banlaroguel a un plan. Il veut reconstituer l’Arsenal-Paralox et provoquer un paradoxe temporel, annulant la création de la Lance du Temps et de la Trouée pour sauver son peuple des Vatrox. Tifflor est chargé de psychomatière, ce qui réactive son activateur cellulaire, et renvoyé auprès de Duleymon avec un bloc hypnotique. Maintenant en possession des vingt clés, il les assemble. Il a désormais le contrôle total sur les vingt grains temporels. Avec l'aide de sa peau de cristal, il échappe à l’influence de Banlaroguel. Il est maintenant confronté à un dilemme : si les grains temporels se réunissent, cela signifiera la fin de tous leurs habitants. Il utilise une petite quantité de psychomatière pour stabiliser les habitats, prend divers arrangements devant conditionner son arrivée dans la Lance du Temps, et regagne le présent.

Tifflor apparaît désormais à Perry Rhodan comme un étranger, un messager des puissances supérieures. Le 11 mai 1463 N.D.G., dix-huit des grains temporels se matérialisent et s’assemblent en un objet de 1088 kilomètres de diamètre : l’Arsenal-Paralox.
 


© Michel Vannereux