cycle 43 : Chaotarques
FASCICULE PERRY RHODAN n° 3124
 
Wo die Äonenuhren schlagen
Où sonnent les horloges-éons
 
Auteur : Oliver Fröhlich
Année de parution : 2021
 

Anzu Gotjian repère le Parx de haut rang Etrex Baibur, qui se trouve avec sa troupe à proximité. Il dispose d’une arme spéciale, un Parx géant appelé la pince hexadim, qui peut repérer l’usage de parafacultés.

Les Navakans croient que le Parx monstrueux est un chaobjet. De tels objets sont une des raisons d’être des chaoporteurs. Ceux-ci déposent des objets complexes dans des univers ratés, qualifiés de chao-univers. Certains de ces objets sont influencés par ce séjour et subissent une chaomorphose. Le chaoporteur les collectionne et se livre à des expériences avec.

Les Navakans décident de se mettre en sécurité avec leurs invités dans une horloge-éon. Ces tours de sept cents mètres de haut sont des enregistreurs de savoir. Quand un Navakan meurt, toutes les connaissances passent dans la totalité des horloges-éons. Elles sont entourées par un voile hexadimensionel. Seuls des Navakans peuvent y accéder, mais ils peuvent emmener qui ils veulent. Des Navakans restent à l’extérieur et combattent des Parx. Bouner Haad pense que Gotjian était la véritable cible et qu’il n’a été emporté que parce qu’il était à côté d’elle. Les parafacultés de Gotjian semblent être en liaison avec le chaoporteur.

Des informations sur la pince hexadim sont contenues dans l’horloge-éon. Un Navakan doit sacrifier une part considérable de son espérance de vie pour y accéder. Gotjian développe un plan qui est tout de suite mis à exécution. Elle se laisse enlever par la pince et amène Baibur à arrêter le combat. Elle affirme que là d’où elle vient, il y a des gens dotés de parafacultés plus puissants et qu’elle est prête à les livrer si Baibur la ramène là.

Haad et Tondar quittent discrètement l’horloge et se rendent au logement de Tondar. Là, ils polarisent les « intercepteurs » de façon qu’on puisse insérer n’importe qui dans le rayon Transposit. Dans l’horloge-éon, Tondar en a appris plus sur son passé qu’il n’aurait voulu. Il sait maintenant que lui et les Navakans ont été créés pour des jeux de guerre et sont issus du même pool génétique. Ses forces psi ont été complètement régénérées. Il veut s’assurer que Bouner Haad et Anzu Gotjian soient ramenées sur le Ras Tschubaï par le rayon Transposit. Baibur l’aide involontairement en essayant de le capturer avec la pince, ce qui lui permet d’utiliser cette énergie supplémentaire. Il perd pour de bon ses facultés. La pince est détruite.

Le Ras Tschubaï prend la fuite dès que Gotjian et Haad sont à bord.
 


© Michel Vannereux