PERRY RHODAN NEO n° 48

Der Glanz des Imperiums
L'éclat de l'Empire
 
Auteur : Michelle Stern
 
Année de Parution : 2013
 
   

    Quand l’équipe de Perry Rhodan veut se joindre à un convoi vers Arkon avec le Tia’ir, la flotte du Régent se matérialise. Les membres du convoi sont informés que l’Empire les a choisis pour une mission particulière. Ils obtiennent les coordonnées de saut d’Arthek 17. Ils doivent servir de public enthousiaste lors d’une visite du Régent. Le Tia’ir doit se poser sur la planète en raison de son style luxueux et les autres vaisseaux demeurer en orbite. Arthek 17 est une planète autrefois dévastée par les Maahks. En orbite se trouvent de multiples stations.

    Sur Arthek 17, le Régent prononce un discours et annonce que les Maahks sont revenus et attaquent. Il déclare l’état d’urgence sur tout l’Empire. Droits et privilèges des non-Arkonides sont suspendus, ce qui provoque une vive émotion.

    Le Régent, accompagné par Sergh da Teffron et Stiqs Bahroff, espère trouver dans le sous-sol de la planète les plans du légendaire canon-convertisseur. Il a sur lui un foulard de la princesse Crysalgira qui lui sert de laisser-passer face à un Arkonide porteur d’un uniforme démodé. Ils suivent une rivière souterraine.

    Rhodan et ses compagnons, qui les suivent dans l’intention d’enlever le Régent, sont d’abord empêchés de passer par l’Arkonide. Atlan reconnaît en lui Chergost, son rival auprès de la princesse il y a dix mille ans. Sa conscience a été implantée dans plusieurs robots pour assurer le rôle de gardien du monde souterrain. Ils arrivent dans un paysage magnifique. Au milieu de ruines se trouve le cercueil de la princesse Crysalgira. Quand Atlan touche le couvercle de verre, celui-ci se soulève et Atlan peut récupérer un tarkanchar.

    Quand le Régent arrive, il est en colère de ne pas trouver le tarkanchar. Il détruit le corps de Crysalgira, ce qui met Atlan en rage. Le robot Chergost est détruit en tentant de protéger le corps de son ancienne maîtresse. Sergh da Teffron tue le Régent.
 


© Michel Vannereux