PERRY RHODAN n° 62
Prisonnier du plasma
 
Cycle
Les Bioposis
 
Traduction
Marie-José Dubourg
 
Edition originale
Fleuve Noir Anticipation n° 1234
 
Parution
1983
   
    PREMIÈRE PARTIE
    En octobre 2113, Perry Rhodan quitte Arkonis III et rejoint la Terre. Il retrouve Van Moders et Kule-Tats. Ceux-ci affirment que les Laurins ont transformé les robots de Mécanica en Bioposis en leur adjoignant des blocs de protoplasme cellulaire mais à un certain moment, ceux-ci se retournèrent contre les Invisibles. Le but de Rhodan est d’obtenir l’aide d’Ernst Ellert afin de s’emparer des radiants transformateurs à bord d’une nef bioposi. Le corps du mutant se trouve toujours dans sa crypte tandis que son esprit voyage à travers l’univers. Après deux jours d’attente, le temps que le mutant sauve un peuple de la destruction, ils repartent pour Arkonis III.

    Le Théodoric prend la direction de Frago et attire à l’écart plusieurs nefs bioposis. Ernst Ellert projette son esprit et parvient à prendre sous contrôle un des vaisseaux. Il l’amène dans la direction de M 13. Sur le vaisseau terrien, son corps commence à montrer des signes de décomposition.

    Tandis qu’Ernst Ellert garde sous son contrôle les six commandants de protoplasme, un commando pénètre à bord et récupère deux radiants transformateurs. Le corps d’Ellert meurt mais il continue à bouger, il semble bien que les esprits des commandants de protoplasme ont pris son contrôle. L’esprit du mutant perd le contrôle et commence à se dissoudre à l’intérieur des cellules de protoplasme. La nef bioposi s’entoure brusquement d’un écran de relativité et disparaît, emportant avec lui une partie du commando. Le Théodoric retourne sur Frago.

    La nef bioposi retourne aussi près de la planète artificielle. Ellert parvient à reprendre le contrôle pour une courte période, permettant aux Terriens à bord de fuir dans l’espace. Ils sont bientôt récupérés par le Théodoric.

    Ses blocs-propulsion ayant été sabotés, la nef bioposi dérive et plonge sur Frago. Quand les écrans de relativité entrent en collision, la nef explose et l’esprit d’Ellert est projeté dans l’univers. Son corps est enterré.

    DEUXIÈME PARTIE
    Molol, un Anti, prêtre-enseignant du culte de Bâalol, s’enfuit de la planète Aptulad, la quatrième planète du système d’Aptut. Pris en chasse par d’autres unités antis, il est abattu avant d’être récupéré par un navire franc-passeur. Ce dernier est attaqué mais sauvé par l’intervention d’un croiseur terrien. Molol a juste le temps de prévenir que des étrangers sont apparus sur Aptulad et que toutes les civilisations de la Voie Lactée sont menacées. Il meurt avant d’en dire plus.

    Nike Quinto, le chef de la Section III, est informé et envoie en mission ses meilleurs agents. Lui-même prend place sur le vaisseau Eudoxie qui prend en chasse un vieux vaisseau à bord duquel ont pris place Ron Landry, Larry Randall, Lofty Patterson et Meech Hannigan. Le navire s’écrase à la surface d’Aptulad, après avoir permis au commando de s’infiltrer.

    Meech Hannigan s’introduit dans la base mais il est traqué par des Antis. Il leur échappe facilement et est temporairement confronté à une créature invisible. Il aide ensuite ses trois compagnons à pénétrer dans la base. Il ne fait maintenant aucun doute : celle-ci abrite des Laurins.

    En fait, un de leurs vaisseaux s’est posé peu de temps auparavant et a conclu un accord avec le Grand Bâalol. Pour se débarrasser des Terriens, les Laurins émettent mentalement un champ paralysant. Les agents de la Section III capturent des Antis dont les pouvoirs neutralisent le champ. Ils font ensuite irruption parmi les Laurins et en enlèvent plusieurs. Ils doivent affronter les Antis et sont mis en état d’infériorité.

    Ils réussissent à rejoindre leur chaloupe mais tombent sur un piège des Antis. Ils sont heureusement sauvés par l’Eudoxie, emportant avec eux trois prisonniers laurins.

FASCICULES ORIGINAUX

140
Ein Toter soll nicht sterben Clark Darlton 1964
141
Station der Unsichtbaren Kurt Mahr 1964



AUTRES EDITIONS

     
Fleuve Noir, coll. Perry Rhodan
n° 62 (2001)
 


© Michel Vannereux