PERRY RHODAN n° 81
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Pas de retour pour Rhodan
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PREMIÈRE PARTIE
LES REBELLES DE BADUN Perry Rhodan et ses compagnons sont embarqués à bord d’un navire qui les emmène vers Badun, le quartier général des Neutralistes. Ils aident le commandant Okika à veiller sur André Lenoir pour le protéger de la convoitise de certains membres de l’équipage qui visent son activateur cellulaire. Après un vol sans histoire, le navire atterrit sur la planète Badun où les attendent Lord Kositch Abro et sa fille Mory. Ceux-ci espèrent les rallier à leur cause en échange de l’antidote contre le poison que leur a inoculé Iratio Hondro. Le Pand, un vieux vaisseau maquillé en navire franc-passeur avec à son bord Alekom Jiggins et d’autres membres des services secrets plophosiens, gagne H-67, sa base secrète. L’équipage apprend une terrible nouvelle : s’ils ne trouvent pas la planète des Neutralistes ils ne recevront pas d’antidote. Ils finissent par trouver Badun, et Jiggins se voit obligé de négocier avec Lord Abro un chargement inutile car un vrai Passeur ne repart jamais à vide. Rhodan et ses amis constatent que l’armée des Neutralistes est ridiculement trop faible ; ils se rendent également compte que Lord Abro est mentalement perturbé. Celui-ci exige toujours plus : pas moins de cinquante pour cent de la flotte robot terrienne. Reginald Bull, Rhodan et Atlan travaillent beaucoup et ce qu’ils découvrent ne les rassure pas : la flotte neutraliste n’est pas en mesure de mener une bataille contre Plophos. Les rebelles n’ont toujours pas le contrepoison et Mory ne cesse de les épier et de les menacer. La flotte plophosienne guidée par le Pand finit par attaquer Badun et c’est un vrai massacre. Rhodan et ses compagnons parviennent à fuir à bord d’une chaloupe avec Mory mais ils sont repérés. Mais alors qu’ils sont sur le point d’être capturés, l’air commence à scintiller autour d’eux et ils se dématérialisent. DEUXIÈME PARTIE LA PLANÈTE HYPNOTISÉE Perry Rhodan, Reginald Bull, Atlan, André Lenoir, Melbar Kasom et Mory Abro se réveillent à bord d’un navire inconnu sans équipage. Le navire les a téléportés à bord juste avant qu’ils ne soient capturés par les commandos de Hondro sur Badun. Peu après, le navire se pose sur une planète inconnue et les débarque de force avant de redécoller. À la recherche d’un abri pour la nuit, ils sont rejoints par les Monks, un peuple évoquant des chimpanzés, qui les guident jusqu’à une grotte avant de disparaître. Le groupe décide d’aller vers le nord, affrontant sans cesse des créatures les plus diverses. Lenoir se rend compte qu’ils subissent en fait un influx suggestif qui les incite à aller dans cette direction. Au milieu du fleuve, ils aperçoivent un groupe de Francs-Passeurs sur la berge. Lenoir les oblige à les rejoindre. Les Passeurs leur apprennent que plus d’une centaine de races se trouve prisonnières sur ce monde que les naufragés ont baptisé Ravissante. Ils sont sur le radeau depuis deux jours quand des tirs de radiant disloquent l’embarcation. Ils sont sauvés de la noyade par des Cuduhs, une autre espèce intelligente qui évoque un mélange entre tigre et serpent. Pour aller plus vite, les Monks et les Humains grimpent sur les Cuduhs. De nombreuses fois, le groupe repousse les assauts de ptérosauriens, de boules lumineuses, d’humanoïdes différents. Une colline semble les attirer irrésistiblement. Rhodan, Bull et Atlan décident de l’escalader. Kasom et Mory s’endorment et se réveillent seuls après trois jours de sommeil, entourés des Monks et des Cuduhs. Sur la colline ils découvrent une bâtisse. À l’intérieur ils trouvent une grosse sphère brunâtre visiblement morte qui dégage une puanteur extrême : c’était elle qui envoyait les hypnosuggestions. André Lenoir l’a tuée à l’issue d’un long duel mental. Ils retrouvent également Perry et ses compagnons sous un éboulement, vivants, alors que le délai pour recevoir l’antidote est écoulé. Peu après le mystérieux vaisseau réapparaît et les invite à monter à bord. L’Immortel se manifeste alors et rappelle à Rhodan que le poison n’est pas une mort violente et qu’ils ne risquaient rien grâce à leurs activateurs cellulaires. |
FASCICULES
ORIGINAUX
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185
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Flammen uber Badun | Kurt Brand | 1965 |
186
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Die Hypno-Kugel | Kurt Brand | 1965 |
AUTRES EDITIONS
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Fleuve Noir, coll. Perry Rhodan
n° 81 (2003) |
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© Michel Vannereux |