cycle 37 : Le Neuro-Univers
FASCICULE PERRY RHODAN n° 2655
 
Garrabo schlägt Phenube
Garrabo bat Phenube
 
Auteur : Arndt Ellmer
Année de parution : 2012
 

Tormanac da Hozarius a pu envoyer un appel de détresse depuis sa prison. Ghlesduul le sauve. Informé de l’incident, Mapoc da Akkatl assure son appui. Toute l’installation est fouillée. Personne ne sait à quoi correspondent les termes Qin Shi et Badakk qui surgissent mais il devient clair qu’une influence extragalactique est à l’œuvre. Tormanac décide qu’il est temps de faire appel à l’O.M.U. Ronald Tekener apparaît avec le Jules Verne et dix croiseurs composites. Le Trajan fait peu après son apparition. Le plasma génétique et le bassin des Vraies Pensées sont analysés. La substance fluide se compose de cellules de Badakk modifiées. Elle développe à l’intérieur des victimes un deuxième corps qui peut complètement contrôler l’hôte.

Tormanac suppose qu’il y a eu déjà plusieurs victimes du plasma génétique sur Travnor. Lui-même n’est pas resté suffisamment longtemps dans le bassin des Vraies Pensées pour être influencé. Même pour l’Unitair Kormph, le processus n’est pas complet. Il porte toutefois une partie du pseudo-Badakk en lui et son état se détériore constamment. Anelag, le neveu de Mapoc, est identifié comme le porteur d’un parasite complet et capturé. Tormanac croit qu’il a été choisi car c’est un maître dans le jeu de garrabo, et donc doté de grandes facultés stratégiques. Pour en apprendre davantage sur les étrangers et sauver Kormph, Tormanac fait replacer l’Unitair dans le plasma génétique et s’y couche également. Il apprend ainsi que les Badakks, comme les Sayporaniens, sont au service de la superintelligence Qin Shi dont le but est de déstabiliser la Voie Lactée. Les Badakks se servent pour cela de l’organisation Ark’Tussan.

Les Badakks s’apprêtent à fuir avec le vaisseau d’Anelag, le Rêve de Travnor, mais quand il est rattrapé par le Trajan et le Jules Verne, il s’autodétruit. Seul un Sayporanien nommé Marrnuur, resté sur Traynor, peut être fait prisonnier.
 


© Michel Vannereux