PERRY RHODAN NEO n° 38

Der Celista
La Celista
 
Auteur : Michelle Stern
 
Année de Parution : 2013
 
   

    Le 26 février 2037, Perry Rhodan, Atlan da Gonozal, Crest da Zoltral et deux autres Terriens partent de la station Ke-Matlon pour le monde médical Isinglass XIV. La matriarche Belinkhar leur a procuré de fausses identités et des places sur le croiseur mehandor Imh-Teker. Elle aussi se trouve sur le vaisseau après avoir simulé sa propre mort pour soustraire son clan à la vindicte du Grand Empire.

    À bord se trouve également Eglerias da Mertan, un Celista, un espion et chasseur de primes au service du Régent. Il accède à la positronique pour s’informer sur les passagers qu’il trouve suspects. Le commandant du vaisseau, Talamon, se doute de sa présence et prend des mesures pour le piéger. Son second est le Volatien Elnatiner qui est à la recherche de sa planète, Volat, dont personne ne connaît les coordonnées.

    Un petit objet volant est repéré. Il s’agit d’une capsule de sauvetage destinée aux passagers qui développent une soudaine intolérance aux transitions. La capsule abrite un Ronronnant semi-intelligent, qui ressemble à un gros félin. Les Ronronnants servent traditionnellement de gardes du corps et sont censés être télépathes. Chabalh croit reconnaître Perry Rhodan et l'attaque. Il est paralysé. Il explique finalement que son maître Geleregh da Izarol, qui vivait deux mille ans plus tôt, l’a enfermé dans cette capsule. Une étude de la capsule montre toutefois qu’elle a moins de cinq cents ans.

    Talamon fait courir la rumeur selon laquelle Chabalh est télépathe, afin de rendre nerveux le Celista.

    Le Celista attire Rhodan dans la section d’hibernation mais Talamon intervient. Il accomplit une transition soudaine. Rhodan s’en remet plus vite que da Mertan. Chabalh vient en aide au Terrien qu’il considère comme son maître. Talamon et Belinkhar arrêtent le Celista qui est placé dans la capsule de sauvetage.

    Dans leur cabine, Crest et Atlan comparent leurs activateurs cellulaires qui sont différents. Atlan affirme que le sien ne provient pas de LUI.
 


© Michel Vannereux