PERRY RHODAN n° 112
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L'ingénieur intergalactique
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PREMIÈRE PARTIE
L'ESPRIT DE LA MACHINE Le scientifique Steve Kantor vient d’arriver sur Calife, dans le Système Perdu, pour travailler sur les hyperchamps. Une équipe lui est affectée. Il est témoin de l’apparition d’une créature inconnue, mais quand il en parle, on lui répond qu’il s’agit d’une hallucination due au stress. Reginald Bull et Allan D. Mercant sont inquiets, car ils savent que tant que le transmetteur du Système Perdu n’est pas bloqué, ils sont à la merci d’une attaque des Maîtres Insulaires. L’Anbe-3, un vaisseau revenant d’Androbêta, arrive dans le Système Perdu pratiquement à l’état d’épave. Il apporte un message de Perry Rhodan : les Maîtres Insulaires ont décidé de passer au peigne fin l’ensemble de la chaîne de transmetteurs. Il faut s’attendre à l’apparition prochaine d’une flotte maahk. Icho Tolot, qui est revenu à bord du navire, se joint aux spécialistes pour trouver un moyen de bloquer le transmetteur. Steve Kantor est de nouveau témoin d’une étrange apparition, mais cette fois il n’est pas le seul. La créature semble s’intéresser plus particulièrement au régulateur du transmetteur et se montre dangereuse. Ce que les Terraniens craignaient se produit, les Maahks surgissent dans le transmetteur et attaquent. Ils sont facilement détruits, mais on s’attend à d’autres vagues. Lors de la deuxième attaque, les Kullochiens se joignent aux Terraniens. L’équipe de Kantor met au point un plan pour piéger la mystérieuse créature qui semble se nourrir d’énergie. Le contact est enfin établi, après plusieurs tentatives, et Kantor apprend l’incroyable vérité : l’entité n’est autre que le régulateur lui-même qui a développé sa propre conscience. Grâce à son aide, le transmetteur peut être enfin bloqué et l’attaque de la troisième vague de Maahks prend fin. Le Système Perdu est enfin sécurisé, seuls les navires galactiques peuvent y avoir accès. DEUXIÈME PARTIE LE SIXIÈME CYCLE Fin 2402, ce que les spécialistes terraniens avaient prédit se produit : les Maahks se soulèvent ouvertement contre les Maîtres Insulaires. En janvier 2404, la base de Gleam dans Androbêta est complètement opérationnelle. Un transporteur livre mille chasseurs d’un nouveau modèle, des Mosquitos, et des tests ont immédiatement lieu lors de manœuvres. Le Krest III, la nouvelle nef amirale de l’Empire Solaire, fait son apparition. C’est un nouveau modèle, un ultracroiseur de deux mille cinq cents mètres de diamètre. Maintenant que l’attention des Maahks se tourne contre leurs anciens maîtres, Perry Rhodan a décidé de pénétrer enfin dans Andromède. Le vaisseau quitte Gleam et s’enfonce dans le vide intergalactique. Après plusieurs étapes linéaires, un étrange objet est remarqué : une plate-forme de plus de cent kilomètres de large. Plusieurs escorteurs partent en éclaireurs et, comme aucun danger n’a été signalé, le Krest III se pose. Apparemment, il s’agit d’un chantier naval abandonné. La positronique dirigeant la plate-forme réagit à la présence des Terraniens en ajustant la température et l’atmosphère à leur convenance. Le robot Batschadu le Multiple est réveillé. Il organise alors un magnifique spectacle pour mettre en valeur les qualités de la plate-forme KA-Supertarif, les Terraniens ayant été identifiés comme des clients potentiels. Le véritable maître de la plate-forme se réveille alors : Kalak, un Paddler. Ce peuple d’ingénieurs intergalactiques sillonnait autrefois la Galaxie à la recherche de travail pour leurs îles-chantiers. Huit cents ans plus tôt, la plupart ont été exterminés par ceux que le Paddler appelle le Mal en soi. Il prend tout d’abord les Terraniens pour eux et commence à les combattre en soudant les étançons du Krest III à la plate-forme et s’attaquant à un bloc-propulsion. Il finit toutefois par réaliser son erreur et établit le contact avec les Terraniens, acceptant de mettre KA-Supertarif à leur disposition. |
FASCICULES
ORIGINAUX
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249
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Der Geist der Maschine | Kurt Mahr | 1966 |
250
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Die sechste Epoche | K.H. Scheer | 1966 |
AUTRES EDITIONS
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Fleuve Noir, coll. Perry Rhodan
n° 112 (2006) |
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© Michel Vannereux |