PERRY RHODAN n° 50
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Les dieux oubliés
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PREMIÈRE PARTIE
Reginald Bull apprend qu’à compter du 25 août 2103, Thomas Cardif-Perry Rhodan retirera tous les Terriens mis à disposition de l’empire arkonide. Il en discute avec Allan D. Mercant, les deux hommes n’arrivant plus à comprendre le Stellarque. Une telle mesure va affaiblir Atlan. D’un commun accord, les membres de l’état-major décident de retarder l’application de ces ordres. La Défense Solaire est chargée de surveiller les bases arkonides et même la Milice des Mutants est déployée dans le Grand Empire. Une flotte importante part à destination de M 13. Cardif-Rhodan perçoit sans arrêt une voix mentale lui disant que s’il n’enlève pas l’activateur cellulaire, il deviendra bientôt trop grand et trop fort. Cette voix ne peut provenir que de l’Immortel mais il l’ignore. Il veut innocenter Brazo Alkher et Stana Nolinov, leur accusation l’impliquant de trop près. Un microémetteur est bientôt retrouvé dans la corvette D-109, ce qui innocente les deux hommes. Cardif-Rhodan est appelé par Atlan mais le ton monte et les deux hommes se fâchent. La seule solution qui reste à Atlan consiste à conclure une alliance avec les Akonides. Il envoie une proposition à Drorah. Le Conseil de Régence des Akonides accepte mais veut en échange mille croiseurs ultramodernes et que des Akonides soient nommés à des postes clés. Atlan accepte de livrer les vaisseaux. Quand Atlan apprend que vingt-huit mille vaisseaux terriens se déploient dans M 13, il appelle Bull qui avoue son impuissance. Cinquante jours après avoir reçu son activateur cellulaire, Cardif-Rhodan reçoit un appel mental de l’Immortel et ressent une douleur atroce. On découvre alors qu’il porte un activateur cellulaire. Celui-ci s’est à moitié incrusté dans la cage thoracique et des terminaisons neurales sont en contact biologique avec ses nerfs. Quand Cardif-Rhodan se réveille de sa crise, il découvre qu’il a pris du poids, et la situation empire au fil des jours. Inquiets que leur planète Trakarat soit localisée, les Antis décident de laisser s’évader Alkher et Nolinov en leur faisant croire que la planète Saos est Trakarat. Une attaque des Francs-Passeurs sur la planète est simulée, mais durant leur fuite les deux Terriens interceptent une communication prouvant la duplicité des Antis. Ils s’emparent d’une chaloupe de sauvetage et sont récupérés par un vaisseau terrien. Cardif-Rhodan, qu’on sait maintenant souffrir d’une scission cellulaire explosive, a encore pris du poids. Il décide de partir brusquement pour Saos avec une escadre. DEUXIÈME PARTIE Le 2 septembre 2103, le Duc-de-Fer et une escadre terrienne de quatre mille vaisseaux arrive dans le système de la planète Saos. Cardif-Rhodan dont l’aspect physique a encore empiré veut que les Antis le soignent. Il se montre de plus en plus insupportable. En plein cœur du Grand Empire, un croiseur léger arraisonne un vaisseau franc-passeur en toute illégalité. Son capitaine en informe aussitôt Arkonis. Atlan, qui reçoit alors le général Alter Toseff, un des rares officiers arkonides valables, en est informé ainsi que de l’attaque de Saos par les unités terriennes. C’est le grand prêtre Kutlos qui l’a appelé en personne pour le forcer à agir. Il décide d’envoyer dix mille unités-robots, qu’il accompagne ainsi que Toseff. Cardif-Rhodan, qui a pris encore du poids, arrive sur le poste central du Duc-de-Fer et ordonne l’attaque immédiate de Saos. Bull et Mercant appellent Atlan à l’insu de Cardif-Rhodan, dont le visage est maintenant une masse de chairs informes. Atlan accepte de retirer ses nefs, qui forment toutefois un blocus autour de Saos. Tandis que Cardif-Rhodan envoie dix croiseurs attaquer Saos, Bull organise une opération de son côté. Une chaloupe dépose un commando dirigé par Brazo Alkher à la surface. Ses hommes tombent sur Kutlos qui meurt sans révéler la position de Trakarat. Par chance, ils trouvent ensuite les Francs-Passeurs à qui Alkher et Nolinov avaient volé une chaloupe lors de leur évasion et obtiennent d’eux une description de Trakarat et de son soleil Aptut. Cardif-Rhodan, de son côté, n’a rien obtenu après avoir rasé la base des Antis. De retour sur le Duc-de-Fer, il est appelé par Atlan, qui se montre choqué par son apparence. Cardif-Rhodan l’injurie mais Atlan décide de tout faire pour sauver celui qu’il considère comme son ami. |
FASCICULES
ORIGINAUX
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114
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Rufer aus der Ewigkeit | Kurt Brand | 1963 |
115
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Der Imperator und das Ungeheuer | William Voltz | 1963 |
AUTRES EDITIONS
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Fleuve Noir, coll. Perry Rhodan
n° 50 (1998) |
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© Michel Vannereux |