PERRY RHODAN n° 56
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La mort de Mécanica
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PREMIÈRE PARTIE
Des Marchands Galactiques et des Terriens découvrent l’Athlon, une nef-robot à la dérive. Les Terriens, maîtres légitimes du navire, font fuir les Marchands Galactiques qui laissent le Trox Vicheline à bord du navire. Les Trox sont des êtres squelettiques, sans colonne vertébrale, et transparents comme une toile d’araignée. Le Frisco aborde l’Athlon alors qu’une nef composite, du type de celle observée par la station OBS-XXI, s’approche du lieu des opérations. La nef, qui cherche à préserver toute vie mécanique et à détruire toute vie organique, effectue un tir sur le Frisco qui est immédiatement réduit à l’état d’épave. Le 29 mai 2112, un SOS est envoyé au nouveau navire amiral de Perry Rhodan, le Théodoric. Le Théodoric arrive sur le lieu des événements et arrose la nef composite avec des rayons paralysants qui restent sans effet. En retour, la nef composite attaque le Théodoric et celui-ci ne doit son salut qu’à une fuite précipitée dans l’entr’espace. Perry Rhodan décide alors d’envoyer les trois téléporteurs en éclaireurs dans la nef composite. Ceux-ci arrivent chacun dans un endroit différent et sont immédiatement pris à partie par les robots formant l’équipage. Ras Tschubaï puis Tako Kakuta sont faits prisonniers mais décident de ne pas s’échapper tout de suite en espérant rencontrer les maîtres du navire. L’Émir tente une approche plus directe puis se téléporte vers les deux prisonniers. C’est alors que le commandant de la nef composite utilise des rayons paralysants sur le conseil de Shorty–O, un des robots. Les mutants sont alors obligés de fuir sur l’Athlon. Rhodan, avec le Théodoric, revient chercher les trois téléporteurs mais apprend qu’ils sont coincés sur l’Athlon car trop faibles pour se téléporter. Une petite troupe de dix hommes menés par Brazo Alkher est envoyée en soutien à bord de l’Athlon à l’aide du transmetteur fictif. Le commando d’Alkher se scinde en deux groupes dont l’un vient en aide à Tako Kakuta et l’autre à Ras Tschubaï. L’Émir tente de rejoindre un des deux groupes. C’est à ce moment que les propulseurs de l’Athlon se mettent en route. Constatant que l’Athlon et la nef composite appareillent, le Théodoric prend cette dernière sous son feu, sans résultat. Heureusement, les vingt-deux croiseurs lourds appelés en renfort arrivent juste à temps et le feu concentré des vaisseaux force la nef composite à fuir seule en abandonnant l’Athlon aux terriens. Tous les robots provenant de la nef composite et restés sur l’Athlon se suicident alors que les télépathes entendent un rire non-humain. DEUXIÈME PARTIE Pour éclaircir le mystère des robots inconnus, Perry Rhodan part chercher des informations sur Mécanica. Son équipe est équipée de cérébro-neutralisateurs pour éviter d’être reconnus comme créatures organiques sauf Putzi, un chat géant à demi-télépathe originaire d’une autre planète, qui sert en fait de cobaye. L’Émir et Putzi partent en reconnaissance mais ne reviennent pas. L’Émir a en fait été paralysé par des robots mais il est délivré par Perry et Iltu. De retour à la base, le commandant du Théodoric, Jefe Claudrin, avertit Rhodan que cinq nefs des Laurins – nom donné aux Invisibles par rapport à une légende germanique – approchent. Elles amorcent la destruction totale de la planète en larguant depuis l’orbite des bombes similaires aux bombes arkonides. C’est alors que trois nefs composites se précipitent vers le système d’Outside. Elles détruisent les cinq astronefs laurins en dix secondes, mais l’une d’elles est durement touchée et s’écrase sur Mécanica. Rhodan et les hommes du commando d’intervention se rendent sur les lieux du crash et ils utilisent les cérébro-neutralisateurs pour abuser les robots. Tous les robots de l’épave sont emmenés sans résistance, jusqu’au moment où Putzi se montre à découvert. Un robot de combat réagit alors à une vitesse fulgurante et le réduit en cendre. L’Émir contrevient aux ordres de Rhodan en détruisant totalement le meurtrier de son ami. Alors que Perry Rhodan se promène seul pour réfléchir, le sol de la planète moribonde s’effondre sous lui. Il se retrouve dans une ancienne base de défense de Mécanica, mais la progression de l’enfer atomique initié par les Laurins risque de le tuer à très court terme. L’Émir se téléporte au secours de son ami. Alors que les derniers morceaux de la nef composite sont embarqués, Iltu informe Rhodan que lors du balayage télépathique qu’elle a effectué à sa recherche, elle a capté des impulsions provenant des robots. D’abord interrogatives, ces pensées se sont vite transformées en colère, en rage puis en haine jusqu’au moment ou elle a rebranché son cérébro-neutralisateur. Cela indique qu’il s’agit de robots capables de pensées autonomes et de sentiments. Le Théodoric appareille et s’éloigne de la planète lorsque celle-ci se transforme en nova et menace de désintégrer le vaisseau. Seuls les réflexes de Claudrin permettent d’éviter la catastrophe. |
FASCICULES
ORIGINAUX
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128
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Mörder aus dem Hyperraum | William Voltz | 1964 |
129
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Atombrand auf Mechanica | Clark Darlton | 1964 |
AUTRES EDITIONS
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Fleuve Noir, coll. Perry Rhodan
n° 56 (1999) |
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© Michel Vannereux |